« C’est génétique ! Ma mère ést comme ça, ma grand-mère était comme ça, je ne peux rien y faire ! » Et si laSophro Analyse des Mémoires Prénatales, de la Naissance et de l’Enfance nous aidait à nous défaire de nos transmissions familiales inconscientes?
Qui n’a jamais entendu ce type de reflexion ? En tenant ce genre de discours la personne adhère à cette croyance qu’elle doit partager avec ses ancêtres tous les maux de la famille. Et comme l’éducation se transmet sur ce schéma, la personne accepte inconsciemment par loyauté familiale de garder cette croyance. Or nul n’est forcé de prendrecomme acquis ce qui lui est enseigné ou le modèle qui lui est montré. Tout être humain grandit en se faisant sa propre expérience des choses, pourquoi cela devrait-il en êtredifférent dans le contexte familial ?
Ce cadeau empoisonné qui veut que de mère en fille (ou toute autre transmission familiale)on passe le baton de relais de l’anxiété, s’est transformé en croyance de fatalité qui empêche toute entreprise de libération par rapport à ce phénomène. Et pourtant si la personne accède à une prise de conscience et rend à son ancêtre le fardeau qui ne lui appartient pas, elle pourra enfin prendre les rênes de sa vie et ainsi par la même occasion en faire bénéficier toute la lignée antérieure et surtout postérieure.
Lorsque la personnereconnait son acceptation dans leprocessus de transmission, par loyauté et dans l’amour, ellepermet à sescellules de découvrirun autre moyen de fonctionnement.Elle peut ainsi profondément renouer avec la sérénité et écouter son intuition profonde par rapport à une situation plutôt que de réagir en mode automatique.
La Sophro Analyse des Mémoires Prénatales, de la Naissance et de l’Enfance permet dans le travail thérapeutique de soulager tous les fardeaux généalogiques tout en gardant le lien d’amour qui nous unit à notre famille mais de prendre sa place avec toute l’amplitude et la force de notre lignée.
La personne s’autorise une re-naissance dans l’équilibre de son individualité en puisantle meilleur de la transmission généalogique, laissant de côté le moins bon qui n’est pas nécéssaire à son épanouissement.
