Vitalité

Comment être en forme grâce à son alimentation ?

Qu’est-ce que la naturopathie ?

Parce que la naturopathie :

consiste à renforcer les fonctions vitales et réactions de défense de l’organisme par une hygiène de vie appropriée (alimentaire, émonctorielle, physico-nerveuse &
psycho-émotionnelle)

vise à maintenir, à retrouver et à optimiser la santé par des méthodes naturelles, en stimulant cette force vitale intelligente, qui anime tous les êtres vivants et qui confère à l’organisme ses capacités d’autoguérison, d’autoréparation et d’autorégulation, que l’on appelle la vitalité.

Présente dès la naissance, elle est variable d’un individu à l’autre et son niveau varie selon des facteurs dits de déstabilisation psychophysiologiques, que sont l’hérédité, le climat, notre mode de vie, etc., lesquels feront que certains systèmes (locomoteur, digestif, ORL, neurologique, vasculaire et uro-génital) seront davantage soumis à des dysfonctionnements que d’autres.

C’est ainsi, que le déséquilibre de l’une ou l’autre des 4 grandes fonctions vitales (contrôle métabolique, immunitaire, digestif et émonctoriel) de l’organisme va engendrer des troubles de santé, conséquence de la dégradation de nos liquides organiques, du fait que nos émonctoires, soient saturés.

Voilà pourquoi, en veillant à la qualité de nos liquides et à leur bonne circulation, on s’assure une meilleure élimination de la toxémie, ce qui se traduit par une optimisation du fonctionnement de l’organisme, un système immunitaire renforcé et une force vitale dynamisée, facilitant la guérison, tout au moins, une amélioration de l’état de santé général, et cela passe par une alimentation de qualité.

Selon le père de la médecine occidentale, Hippocrate, il existe un lien causal fort entre une bonne hygiène alimentaire et la santé « que ton aliment soit ton propre médicament », proclamait-il. La naturopathie, s’en fera l’écho tout au long de son histoire, en la plaçant en tête des méthodes naturelles à mettre en oeuvre, pour renforcer la vitalité, et s’assurer une bonne santé, en prévenant les déséquilibres, qui pourraient résulter d’une alimentation erronée.

Qu’entend-on par une bonne hygiène alimentaire ?

L’alimentation, jouera pleinement son rôle, en fournissant à l’organisme, en qualité et en quantité, les nutriments dont il a besoin pour fonctionner correctement, tout en prenant en compte les critères physiques, physiologiques et psychologiques : âge, sexe, activité professionnelle, origine(s), croyance(s), niveaux de toxémie/vitalité, constitution, tempérament, diathèse, forces et faiblesses, surcharges et carences, habitudes de vie/alimentaires, état de santé, etc.

Elle devra respecter certaines règles de base, à savoir, être :

Variée, pour éviter les carences

Vivante, soit la plus naturelle possible

« Exempt » d’aliments industriels/raffinés, enrichis en « améliorants » du goût et/ou de la présentation, non sans effets secondaires potentiels sur le consommateur (ex. obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, certains cancers, maladies respiratoires, maladies autoimmunes, problèmes rhumatismaux et articulaires, etc.)

De préférence BIOlogique, pour éviter les toxiques issus de la chimie agricole

De saison et donc locale, car mieux à même de répondre à nos besoins nutritionnels du moment

Adaptée à l’âge, à l’activité, au tempérament et à la pathologie de la personne, ainsi que s’accompagner d’une bonne hydratation, afin de maintenir l’équilibre hydroélectrolytique du sang. D’autant plus, que l’eau, qui représente 60 à 70% du poids du corps, joue un rôle majeur dans le transport des nutriments et dans l’évacuation des déchets métaboliques, en plus de participer aux nombreuses réactions chimiques intervenants dans le fonctionnement de l’organisme

Exempt de tout grignotage, entre les trois principaux repas, lequel engendre une suractivité métabolique du tube digestif, à l’origine d’un vieillissement cellulaire prématuré et d’un risque de cancer accru de l’intestin grêle et du côlon, doublé d’un « retrait vital » des différents systèmes organiques, afin d’assurer la digestion

Pour conclure, toutes ces préconisations, visent à limiter la toxémie, qu’elle soit exogène ou endogène, laquelle participe à l’encrassement des cellules & des émonctoires, à la dégradation du terrain et à l’apparition des troubles de santé, au détriment de la force vitale auto guérisseuse.

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