Ne vous arrive-t-il pas parfois de trop penser ? La psychologie peut vous aider ! Car, bien sûr, c’est rarement un flot de pensées et d’émotions positives qui repasse en boucle dans la tête. Pensées négatives, questionnements, préoccupations, doutes, angoisses…peuvent rapidement vous couper de votre quotidien et de vos proches.
Pensées excessives et psychologie :
a) C’est quoi trop penser ? La psychologie donne sa définition :
Les pensées sont un phénomène naturel et automatique. Même si vous êtes un grand méditant, des pensées passeront toujours par là de temps en temps. Cependant, cela devient problématique quand elles ne s’arrêtent jamais et qu’on s’accroche à ces pensées. Quand on ne sait pas les « observer et les laisser passer tel des nuages », mais qu’on les analyse, les tourne dans tous les sens, les tricote, jusqu’à en faire un joli nuage noir au dessus de sa tête. On appelle ça en anglais l’« overthinking ».
b) Les impacts de la rumination mentale sur votre quotidien :
On espère bien souvent qu’à force de ressasser une problématique on finira par y trouver une issue. Mais, à trop penser, nous dit la psychologie, c’est malheureusement souvent le contraire qui arrive. Tel des sables mouvants, on s’englue et s’enfonce dans des réflexions qui tournent en boucle.
Quand les pensées deviennent envahissantes, prennent toute la place, on se sent alors déconnecté de son corps. Toute l’attention est dans le mental. On se retrouve alors à vivre dans sa tête, coupé de l’instant présent, coupé des sensations du corps, coupé de son intuition. Coupé aussi de son environnement et de ses proches. Comme si les « préoccupations » prenaient toute la place, ne permettant plus de percevoir le positif qui nous entoure.
« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent »
Albert Einstein
Comment arrêter de trop penser ? La psychologie vous explique :
a) Prendre du recul pour s’observer soi-même :
La première étape pour sortir de cet emprisonnement est de faire « un pas en arrière », se mettre en spectateur de sa propre activité mentale. Observer le torrent de pensées sans se laisser embarquer.
Voyez la place excessive que vous avez donné à une problématique, et constatez l’inefficacité de cette solution.
Pour autant, si vous avez l’impression de trop penser, la psychologie vous conseille de ne pas essayer de chasser ces pensées ou de les fuir. Regardez-les au contraire bien en face. Laissez leur une certaine place, un certain temps, juste assez pour les accepter, car elles font aussi partie de vous.
La méditation de pleine conscience peut vous aider. La méditation n’a pas pour but de chasser les pensées, de vider l’esprit. La pleine conscience vous propose simplement d’observer ce qui est. Et si ce qui est, c’est un torrent de pensées, alors observez-le.
b) Toucher à l’émotion sous le flot de pensées :
Ensuite, après avoir observé ce mécanisme de trop penser, la psychologie vous invite à ressentir l’émotion qui se cache derrière toutes ses pensées. Car bien souvent, en pensant, le cerveau cherche une solution pour fuir une situation, afin de fuir une émotion. Fuir une peur, une tristesse, une colère…
Observez toutes ces pensées qui défilent à longueur de journée. Et si elles avaient toutes une émotion sous-jacente commune ?
Reconnaissez cette émotion. Vous n’êtes pas obligé de mettre un mot précis dessus, mais plutôt ressentez-là, vivez-là, exprimez là.
c) Trop penser, psychologie et lâcher prise : revenez dans votre corps :
Enfin, voyez comme vous ne pouvez pas tout contrôler. Je dirais même voyez comme vous ne pouvez rien contrôler. Laissez-vous envahir par ce vertige intérieur que, non, vous n’êtes pas à l’abri de vivre cette émotion que vous cherchez à fuir.
Cela s’appelle le « lâcher prise » en psychologie, ou « s’en remettre à la vie ».
Pour y arriver, revenez dans votre corps, ressentez les choses au lieu de les penser. La vie se vit, la vie ne se pense pas. Même si bien sûr le mental est très utile à ses heures !
L’excès de pensées amène fatigue et rigidité du corps. On est comme sclérosé, tendu. S’accorder une pause et remettre le corps en mouvement aide beaucoup à en sortir. Que cela passe par une balade en forêt, faire du sport, des étirements, un auto-massage… Bougez, créez de l’espace, et mettez votre attention sur les sensations du corps.
« Une pensée n’a pas d’autre pouvoir que celui que vous lui donnez »
« Si vous regardez vos pensées dans le contexte du cosmos tout entier, elles sont insignifiantes. Si vous comprenez cela, vous prendrez naturellement de la distance avec votre processus mental »
Sadhguru
Pour arrêter de trop penser, la psychologie vous accompagne :
a) « Vider ses poubelles » :
Le premier bénéfice d’un accompagnement pour arrêter de trop penser, en psychologie, est de pouvoir « vider son sac ». Ce qui est verbalisé à voix haute, partagé avec quelqu’un, prend moins de place à l’intérieur de soi.
Consulter un psychologue c’est s’offrir une bulle où « tout peut se dire ». Il est important de ne rien censurer, même les pensées qui vous semblent étranges, bêtes, celles dont vous avez honte, celles qui vous font culpabiliser. Le psychologue peut tout entendre, sans vous juger. Et déjà ça, ça fait du bien !
b) Mes accompagnements pour arrêter de trop penser : psychologie et énergétique :
Psychologue sur Lille, j’aime créer un espace de bienveillance où la parole se délie. L’écoute active est la base de mon métier et permet à chacun de se libérer d’un poids, de pouvoir partager des pensées qu’on n’ose pas toujours dire à son entourage.
Que se soit en rendez-vous de psychologie, ou avec le complément des soins énergétiques (Trame), je vous accompagnerai dans la démarche de libérer votre esprit de ces préoccupations envahissantes. Ce qui permet de laisser de la place à plus de positif et d’intuitif.