Vivre en bonne Intelligence avec les Anges…
Dans les traditions anciennes de tous les pays du monde, on peut découvrir des histoires étranges de protecteurs invisibles qui interviennent dans les situations dangereuses pour sauver des vies humaines.
Dans la tradition judéo-chrétienne du monde occidental, on désigne en général ces êtres merveilleux du nom d’Ange Gardien.
Au début du XXème siècle, le rationalisme scientifique, cette religion qui a pris peu à peu le pouvoir qu’avaient auparavant les églises, déclara que l’ange gardien n’était que superstition. Pour les matérialistes de notre temps, l’ange gardien n’existepas puisqu’on ne le voit pas.
L’Ange Gardien étant un être spirituel, nous ne pouvons le voir qu’avec nos yeux spirituels. L’Ange travaille en étroite collaboration avec nos guides spirituels, ces parents non-matériels qui, depuis les mondes de lumière, nous soutiennent sur notre chemin d’évolution vers toujours plus de conscience. Ainsi protégés, pourrions-nous n’avoir ni maladies ni accidents ?
Pour celui qui écoute le message venant de ses guides spirituels, l’accident et la maladie ne sont pas nécessaires. Celui qui refuse cette voix intérieure s’expose à des symptômes psychiques désagréables puis à des maladies ou à des accidents physiques. Nous avons foncé sur notre chemin, nous nous sommes laissés mener par la force de l’habitude et avons négligé la voix de notre intuition.
Faisons marche arrière et reprenons le courant harmonieux de notre vie. Revoyons dans notre mémoire le film des récents événements. Avec notre imagination, refaisons le film tel que nous aurions aimé qu’il soit, en remplaçant les difficultés, les conflits, les manques d’amour par de la compréhension mutuelle, de la compassion, de l’humour et de l’Amour.
Parlons alors à notre Ange, en lui confiant ce film et le priant de parler aussi à l’Ange de l’autre pendant son sommeil. On serait étonné parfois du résultat !
L’Ange Gardien nous enseigne que le futur de l’Humanité n’est pas fait de toujours plus de catastrophes, de pollution et de drames, mais toujours plus de conscience, cette conscience qui permet de transformer la maladie en santé, la pénurie en abondance, et la souffrance en créativité.
Dr C. T. Schaller – Octobre 1993 – Extraits.
Archives de Marcelle Mulliez.