Cinq raisons égoïstes de cultiver la gentillesse
C’est bon pour le cœur. « Les sympas, plus populaires et plus productifs que les autres, vivent plus longtemps et en meilleur santé et risquent moins… d’accidents cardio-vasculaires», souligne le psychologue Piero Ferrucci.
La générosité, ça rapporte. Un estime de soi plus grande, un mental de gagnant et le sentiment de contribuer à un monde meilleur : Joie de vivre et optimisme renforcent notre système immunitaire.
Aider les autres ? Que du plaisir ! Cela entraîne les mêmes effets psychologiques sur le cerveau que certaines drogues euphorisantes, en sécrétant des endomorphines, dixit le cancérologue Stefan Einhom.
Etre généreux et attentif, c’est contagieux. Plusieurs expériences ont montré que plus on reçoit d’attentions, plus on a tendance à être soi-même attentif, généreux avec autrui… et performant.
La gentillesse est une forme d’intelligence qui porte ses fruits à long terme : La survie du plus apte ne signifie pas qu’il s’agit du plus fort, mais du mieux adapté. Or la capacité à coopérer favorise les chances de survie et de reproduction du groupe. Valable pour les singes, les oiseaux… et les humains !