Face aux médecines alternatives, dites « douces », l’argument choc des rationalistes est que toutes les approches naturelles, ces médecines des énergies, sont des placebos.
Alors allons plus loin : Si c’était le cas, qui serait dérangé par le fait de pouvoir se soigner sans effets nocifs ? Ce n’est pas parce qu’un malade est « placebo répondeur » qu’il n’est pas malade. L’essentiel est qu’il guérisse.
En réalité, une des forces fondamentales de ces nouvelles médecines concerne justement cet accès à l’information que ne délivre pas ou peu la médecine officielle. Un patient mieux informé guérit mieux, quel que soit le traitement délivré, c’est prouvé scientifiquement.
A l’inverse, s’il intègre l’idée que sa maladie est incurable, il inhibe ses facultés endogènes.
Est-il « raisonnable », dans ce cas d’annoncer à ce malade que son mal ne peut être guéri et qu’il va devoir prendre un traitement « à vie » ?! N’est-ce pas le condamner d’avance et souligner finalement que le remède que l’on propose ne guérit pas !…
Heureusement, le « condamné » peut trouver d’autres ressources, et rebondir vers une nouvelle approche de la vie ! Cherchons, cherchons…
Avant d’être malade, l’homme est un vivant.
La santé est un épanouissement, la maladie un stress, ou un signal. Promouvoir la santé c’est d’abord promouvoir l’épanouissement de l’homme. Et lui donner les prises de conscience nécessaires pour qu’il s’arme et se défende lui-même, qu’il respecte son corps au lieu de le détruire.
