L’allergie peut avoir été transmise dans une dynamique familiale perturbée, comme une forme de sacrifice, un leg affectif, une cicatrice de l’âme.
Les enfants développent alors les mêmes symptômes que s’ils avaient vécules souffrances de leurs parents. Inconsciemment, ils ne cessent de remettre en scène les blessures des parents, des grands parents, voire de plus haut encore…
– épigénétique : elle touche les mécanismes de régulation du stress,
– transmission des maladies du stress, par exemple trouble du stress post-traumatique transmis de la mère à l’enfant,
– transmission d’une idéologie de violence domestique et éducative,
– transmission par mécanisme inconscient.
Quand un traumatisme est passé sous silence dans une famille les enfants sont soumis aux séquelles, ils doivent s’adapter et démontrer leur propre besoin de développement et d’émancipation, ils tombent dans une symbiose négative et subissent un traumatisme secondaire qui se transmet tel un fardeau psychique d’une génération à l’autre. Les symptômes sont alors inexplicables et ressortent par des manifestations cutanées ou corporelles.
La charge émotionnelle de la génération précédente peut s’accumuler chez les enfants : on peut appeler cela les neurones « miroirs ». Les enfants héritent des cauchemars de leurs parents, ils se mettent à la place de l’autre et se mettent à rêver de ce qu’il n’ont pas vécu.
L’épigénétique part du principe qu’il existe une sorte d’interrupteur dans l’ADN. Selon l’influence des facteurs environnementaux, tels que alimentation ou le stress, les gênes seraient activés ou désactivés avec des répercussions sur la personne. De nombreux problème de santé peuvent donc être transmis d’une génération à l’autre.
L’intervention d’un thérapeute peut être nécessaire pour comprendre l’histoire du traumatisme et ainsi lâcher les loyautés inconscientes qui nous ont amenéà partager ce traumatisme et à en souffrir dans son corps.
