Ombres et lumières…
Il y a des gens qui transmettent la lumière. Il y a des gens qui obscurcissent tout. Il y a des gens qui ne voient que le côté sombre des choses, des événements ou des personnes ; ce sont des pessimistes, des « oiseaux de malheur ». Pour eux, l’avenir est sombre, il n’y a rien d’intéressant, il n’y a que des choses qui tournent mal, il n’y a que des crimes. Bref, le monde va mal. Il ne faut pas non plus jouer à l’autruche et se faire accroire que tout va comme ça devrait être…
Dans le fond, je dis que c’est une question de regard. N’est-ce pas vrai qu’un objet en plein soleil a un côté éclairé et un côté sombre ? Ça dépend du côté où je regarde. Ainsi des événements, des gens : il y a un côté éclairé et un côté sombre. C’est une question de sens, de cœur, de tournure d’esprit. Il n’est pas toujours facile de trouver le sens de certaines situations, de certains événements. Mais de même que l’œil s’habitue à voir la clarté comme la noirceur, il y a moyen d’habituer son cœur, son esprit, à trouver le sens éclairé de la réalité.
Devenir « oiseau de bonheur » ça s’apprend ; c’est être capable de trouver le sens d’un événement, d’une situation, être capable de trouver ce qu’il y a de beau dans l’autre et de révéler ce sens de beauté.
Ah comme on aimerait vivre toujours au milieu d’une « volée d’oiseaux de bonheur » !