Halte à la médication systématique !
L’administration continuelle de médications dès la naissance rend petit à petit l’organisme paresseux et désensibilisé. Les maladies d’enfance ou les indispositions banales (rhumes, migraines, indigestions, éruptions cutanées, etc.) sont entravées au point d’être incapables de remplir leur mission éducatrice du corps. Au fil des années, les affections prennent alors des formes plus ennuyeuses et aussi des noms plus compliqués.
Ainsi pour le rhumatisme, toutes les thérapies que la médecine traditionnelle actuelle connaît, sont purement palliatives ; elles calment les douleurs, ce qui n’est déjà pas si mal, mais elles ne guérissent pas. La médecine fait comme si elle connaissait tout sur le sujet, et comme si les médicaments dangereux étaient à la pointe de la science, tout en refusant de prendre en considération les autres causes probables de rhumatisme, telles que l’alimentation et le mode vie. Trop souvent on rend le malade prisonnier d’un cercle vicieux.
En combattant un trouble, on combat le malade qui s’exprime par le langage de son corps. On fait taire le messager chargé de guider nos transformations… Le médicament agit, mais en pénétrant par effraction dans un système subtil encore mal connu, il creuse le lit de la maladie future. Le seul médicament introuvable est celui qui guérirait notre incurable « interventionite » !
On a trop longtemps confondu santé avec action médicale. « Or la santé n’est pas une prestation de la médecine », affirmait en 1976 le Professeur Thomas McKeown devant ses collègues stupéfaits.
[…] Concernant la santé, il y aura de l’espoir aussi longtemps que nous pourrons rire de nos folies, de notre ignorance et des tortures que nous nous infligeons !D’après le Docteur Christian Tal Schaller.